Duck Pékin servi avec des crêpes, des oignons verts et de la sauce aux haricots sucrés. / VCG

Alors que «l’année touristique cambodgienne-chinoise» se déroule, elle offre plus qu’une chance d’explorer des paysages panoramiques – c’est aussi une occasion en or de savourer les riches saveurs de deux traditions culinaires distinctes.

Curry rouge khmer et rouleaux de printemps cambodgiens, deux agrafes de la cuisine savoureuse du pays. / VCG

Les poissons bien-aimés du Cambodge sont un curry de noix de coco parfumé cuit à la vapeur dans les feuilles de banane, connue pour sa texture crémeuse et ses épices subtiles. Du côté chinois, le canard Pékin est une délicatesse à la peau croustillante avec des siècles d’histoire impériale, souvent servie avec des crêpes et de la sauce aux haricots sucrés. Ces deux plats sont des transactions incontournables qui parlent aux racines culinaires de leur pays.

Un bouillon bouillonnant et des plats d'accompagnement colorés préparent le terrain pour un repas classique au Sichuan Hot Pot. / VCG

Le curry rouge khmers apporte de la chaleur sans chaleur écrasante, souvent cuite avec du lait de coco, du poulet et des épices locales. En revanche, le Pot chaud du Sichuan est une expérience audacieuse et ardente chargée de piments et de grains de poivre engourdissants. Alors que Khmer Curry invite une chaleur douce, le pot chaud du Sichuan est une ruée vers l’adrénaline pour les papilles gustatives.

Une sélection de dim sum cantonais, un incontournable de la cuisine du sud de la Chine. / VCG

Les rouleaux de printemps cambodgiens, remplis d’herbes et de légumes frais, offrent une morsure nette et un rafraîchissement léger. Les dim sum – avec sa large gamme de boulettes, de pains et de rouleaux, – met en valeur la finesse de la cuisine cantonaise. Les deux plats sont de la taille d’une bouchée, parfaits pour le partage et reflètent l’importance de la communauté à la table à manger.